Itzlacoliuhqui
L’histoire du « petit glacon nerveux » est issu de son journal, des différentes narrations que l’on a pu trouver sur lui, de rapports médicaux, policiers ou des SOS.
La Génèse
Je ne possède aucun souvenir bien précis de cette période. Tout ce que je sais, c’est que j’ai été « trouvé » aux crevasses à proximité d’une planque trolls à l’âge de 5 ans.
J’ ai été « élevé » par des trolls, ma mère ayant mis bas chez eux, en pleine overdose de superadyne, qui causa peut être sa mort, du moins je l’espère, je détient peut être mes pouvoirs grâce à elle, néanmoins, le meilleur moment de ma « jeunesse » fut quand mes pouvoirs se révélèrent, je suis sur que mes poings avec leur auras rouge, ainsi que la mort prématuré de ma « nourrice » ont fait peur à mes « parents à la peau vertes », je suppose que c’est la raison pour laquelle « ils » m’ont abandonné.
C’est peut être la raison pour laquelle je leur vous une haine aussi féroce que meurtrière.
L’orphelinat
Un de mes premiers souvenirs, plus ou moins heureux.
J’y restai jusqu’a mes 14 ans.
Au début, je fus effrayé, de voir autant de gamins, d’adultes qui vous parle sans grogner, de manger régulièrement, de dormir sur autre chose que la terre, mine de rien ce fut une bonne période.
Puis, les choses changèrent, le jour ou ce maudit chien voulut me mordre, et se retrouva dans un premier temps congelé, puis explosé en mille morceaux. Je n’aime pas les chiens…
A partir de ce jour la, on me plaça dans une section spéciale de l’orphelinat, et je me retrouvé seul, solitaire, ignorait de tous. Ma seule vu faisait fuir les enfants, trembler les adultes, je découvris le merveilleux effet de la peur, et appris à en tirer partie.
Ce fut aussi les premières visites du toubib. Avec ses entretiens, je pris de plus en plus conscience de mes possibilités, les effets de la superadyne n’ont pas uniquement développé mes pouvoirs, mes aussi mes capacités intellectuelles. Quelle ne fut pas la surprise du toubib, de constater que je savais lire, sans avoir pour autant jamais été à une quelconque école. Sa mine déconfite me fit réaliser que je ne devais pas tout dire sur moi.
L’orphelinat présentait un autre avantage, sa bibliothèque. J’étais passionné de livre de S.F., de policier, d’ouvrage historique et scientifique. Mais, je ne devais pas montrer cela aux autres, mes visites se faisait donc de nuit, en cachette, toujours en cachette.
Le toubib me demanda un jour comment je voudrais qu’on m’appelle, et ma réponse lui fit un peut peur : je choisi John Doe, le patronyme de toutes personnes dont on ne connaît l’identité dans les morgues.
Une fois mes papiers officiels donnait par l’orphelinat, je décidai de partir, je n’avais plus rien à y apprendre.
Mon évasion, ma liberté
Je suis enfin partie.
Je connais depuis longtemps un passage vers les égouts par la salle de la chaudière en sous-sol. Malheureusement pour lui, le gardien à découvert mes aller-venus par ce passage, il a bien essayé de me retenir, mais on bouge difficilement dans un bloc de glace. Il faudra que je m’entraine un peu plus, je me contrôle mal sous la surprise, j’ai gelé toute la salle.
J’ai rendu visite au toubib, il savait trop de chose sur moi, maintenant il ne dira plus rien.
Je suis retourné aux crevasses, j’ai « nettoyé » une grotte pour m’y installer. Quel plaisir de leur montrer ce que je suis devenu, je suis sur que certain m’ont reconnu avant de mourir…
Ma vie est simple, je vole des livres pour les lires, aucunes bibliothèques de Sky, KR, Galaxy ou Atlas ne m’est étrangère. Je m’entraine aussi beaucoup sur mes pouvoirs, j’ai beaucoup de cobaye dans le coin pour… Je vois passer des Super-héros de temps en temps, ils sont pathétiques…
Une équipe de super-héros m’a rendu visite, je leur ai expliqué qu’ils n’étaient pas les bienvenus.
Cela fait presque un an que je suis libre, pour fêter ça, je vais aller faire un tour à pocket D, je trouverai bien de l’argent en chemin.
Les rues grouillent de force de l’arc, ils me suivent depuis une semaine maintenant.
Ziggourat
On m’a arrêté pour plusieurs meurtres, celui du gardien, celui du toubib, mais aussi celui des 15 gamin morts par asphyxie au CO2 suite au gel de la chaudière. J’en ai pris pour 30 ans fermes (le maximum possible pour un mineur).
10 mois que je suis ici, les gardiens ont peur de moi, les autres prisonniers aussi, j’ai tout les livres que je veux. Aujourd’hui, un psychologue est venu me voir, mais ce coup-ci, je sais ce qu’il faut dire ou pas, il m’a dit qu’il reviendrait toute les semaines, le pauvre, il va comprendre que ca sert à rien.
Une femme est venue avec le psy aujourd’hui, je n’aime pas sa personnalité, mais elle me propose un job de 2 ans en échange de la liberté, cela va me permettre de sortir plus vite d’ici, je vais donc accepter.
On vient de me contacter de l’extérieur, Arachnos prévoit de libérer tout le monde, et moi en particulier, ils aiment bien mon C.V., l’attaque de la prison est prévu pour la semaine prochaine.
Je ne comprends pas, on vient me chercher, mais il n’y a pas eu d’attaque, je ne peux rien faire, je suis drogué.
Les SOS
2 mois, 2 mois que je suis dans cette cellule « grand luxe ». Je ne vois que mes gardiens qui apportent à manger. Leur bibliothèque est bien fournit, heureusement.
Le psy est venu me voir, il m’explique qu’il me faut un nom de code pour le « travail » qu’on nous demandera à faire, il souhaiterait quelque chose de simple, je le décevrais pas.
J’ai trouvé mon nom de code, Itzlacoliuhqui, plus difficile de faire plus simple, un nom de dieu, cela me va bien je trouve, un dieu du froid et de l’entêtement, que le psy cherche un peu une signification.