Nom : Crow
Prénom : Thomas
Alias connu : Great Bear (traduit de l’algonquin), Wendygo (intraduisible)
Date de naissance : 28 mars 1980
Lieu de naissance : Notre Dame du Nord, dans la région d’Abiti-Témiscamingue (Québec ouest)
Nationalité : Canadienne
Situation de famille : Célibataire, un enfant déclaré
Famille connu : Edouard Crow (Père, Membre de la Police Montée Canadienne)
Elizabeth O’Riordan épouse Crow (Mère, Institutrice)
Ojibwa Crow (Fille)
John « Raging Crow » Crow (Grand-Père, activiste connu)
Casier : Principales condamnations pour Dégradations de biens publics et privés, Atteintes à l’intérêt de l’état, Homicides involontaires, Complicité d’homicides volontaires, Actes de terrorisme, et Possession d’armes de guerre.
Particularités : Manipulation psychique des minéraux et de la température. Ses capacités ont la plupart du temps une portée très limités, mais sont néanmoins assez surprenantes. Les origines exactes de ses capacités n’ont pas encore été déterminées. Thomas Crow ne parle de ses capacités que comme un « Don de la nature », ou une manifestation de « l"esprit de la montagne » (voir également le dossier de John Crow).
Historique : Né dans la communauté de Notre Dame du Nord située à la tête du lac Témiscamingue au Québec, d’un père d’origine algonquine et d’une mère d’origine irlandaise, Thomas Crow a eu une enfance tout à fait normale, qui s’est prolongée par son entrée à l’université de Montréal. Celui-ci a démontré l’étendue de ses capacités physiques en intégrant une équipe universitaire de Hockey avec laquelle il gagna le championnat deux années consécutives. Ses études en sociologie et en ethnologie n’étaient, quant à elle, perturbées que par son engagement dans la cause environnementaliste, et sa participation a des actions d’éclat d’associations comme Green Peace.
En 2001, rentrant en désaccord avec ses deux parents, Thomas Crow arrêta ses études et fonda le groupuscule éco-terroriste « Free Bear ». Ce groupe se fit alors tristement connaître par plusieurs actions. La première fut un raid dans un laboratoire pharmaceutique pratiquant l’expérimentation animale. Les membres du commando surexcités n’étaient venus, à la base, que pour libérer les animaux présents, mais la résistance de la sécurité fit rapidement dégénérer la chose, et le commando, lourdement armé, fit de nombreuses victimes parmi les membres du personnel du laboratoire. Cependant, l’action la plus connue du groupe « Free Bear » fut la destruction brutale et complète d’un gigantesque barrage. La zone inondée était très étendue, mais aurait du être vide au moment de l’attentat. Cependant tout un groupe de randonneurs périt dans les flots, affolant dans le même temps, l’opinion publique de toute l’Amérique du nord.
En 2002, Thomas Crow quitta le groupuscule « Free Bear », en passe d’être démantelée par l’action conjuguée du FBI et des services gouvernementaux canadiens. Afin d’échapper à son arrestation, il rejoignit son Grand-Père, le terroriste connu sous le nom de « Raging Crow » (célèbre pour ses positions pro-amérindiennes et ses attaques contre les intérêts gouvernementaux américains et canadiens). Cette période est assez flou dans nos dossiers, mais nous savons que Thomas Crow connu alors une initiation à la culture chamanique de son Grand-Père, devint le père d’une petite fille, manifesta des capacités surnaturelles, et réapparut sous le pseudonyme de Great Bear (traduit de l’algonquin) pour reformer un nouveau groupe associant les idées de son Grand-Père, à la cause écologique.
Le résultat de cette fusion se fit connaître très rapidement dans une série d’attentats dirigés à la fois contre des usines privés et des bâtiments administratifs, provoquant des dégâts matériels colossaux (parfois associés à des pertes humaines). Thomas Crow fut cependant arrêté, jugé, et condamné en 2004, durant la préparation d’un attentat à Washington. Sa résistance durant l’arrestation provoqua de nombreux dégâts dans la ville (même si Thomas Crow semblait vouloir éviter la mort de qui que ce soit), et permit la fuite du reste de ses complices. Aucune trace du lieu où se cache John « Raging Crow » Crow, et sa petite fille Ojibwa, n’a pu être découverte.